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Psychologie échiquéenne

La partie d’échecs représente, avant tout, un affrontement entre deux humains de chair, de sang et de sentiments qui s’efforcent d’imposer leurs idées et plans à l’aide de leurs meilleures capacités, tout en exploitant les faiblesses et les erreurs de leur adversaire.

Lorsque vous entrez dans le monde des Échecs, n’oubliez pas que les satisfactions seront passagères alors que les déceptions beaucoup plus profondes.


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* Aux Échecs, il faut toujours avoir confiance en soi-même car, même les espérances les plus insolentes ou illusoires peuvent amener des résultats extraordinaires.

* La véritable pensée échiquéenne est constituée d’un fort esprit de contradiction, d’une volonté d’imposer ses propres idées et d’une imagination fertile nous offrant les moyens nécessaires à la faire.

* Le joueur qui s’efforce de gagner trouve toujours les moyens, celui qui ne s’applique pas invoque toutes sortes d’excuses.

* Dans notre jeu, une seule réussite peut parfois nous consoler pour toute une série d’échecs alors qu’une défaite marquante peut assombrir toute une carrière jusqu’alors bien menée.

* La meilleure attitude échiquéenne n’est pas la position ferme, inflexible mais l’approche souple et contradictoire.

* Une victoire falote mais indiscutable est toujours préférable à une défaite spectaculaire mais douteuse.

* La hyper-affectivité rend le joueur médiocre alors que l’absence d’affectif caractérise le grand maître.

* La passion modérée enrichit l’esprit du joueur, trop de passion la brûle.

* L’enthousiasme du premier coup est souvent assombri par l’amertume du dernier.

* Il jouait avec enthousiasme mais son plaisir s’arrêtait lorsqu’il perdait.

* La maîtrise de soi l’a trahi, alors il lui a rendu la pareille.

* La faiblesse échiquéenne peut se rapporter à tout : case, coup, plan etc. mais, avant tout, au caractère du joueur.

* Je ne croirai pas trop dans le jeu de l’ordinateur que lorsque je le verrai peiné après une défaite imméritée !

* Un joueur d’échecs en zeitnot est comme un pilote qui exécute un atterrissage forcé en pleine tempête.

* Exercice de philosophie dans le zeitnot adverse : le temps travaille pour moi...

* Finalement, c’est sa tombée qui fait la grandeur du petit drapeau.

* Tout comme ailleurs, où on ne recense pas les occasions gâchées, aux Échecs on ne compte pas les positions "avantageuses" voire "gagnantes".

* Après avoir obtenu l’avantage dans sa partie par correspondance, le reste ne fut qu’un simple problème de technique…postale.

* Les coups les plus amusants se font souvent dans des positons lamentables.

* La gaffe est comme une fane automnale dont la chute ne peut être endiguée même par des milliers de bras.

* Même les plus grosses dioptries ne peuvent pas nous épargner de l’aveuglement échiquéen.

* De toutes les erreurs d’appréciation, les plus fâcheuses à plus long terme sont celles que l’on fait sur soi-même.

* N’invoquez jamais la chance car elle ne vient que vers celui qui la mérite par l’excellence de son jeu.

* Aux Échecs, la malchance de l’un fait forcément le bonheur de l’autre.

* Le dernier coup n’a jamais de riposte.

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